
Cas réalisé par le Dr Selam
Tous les implants dentaires posés dans notre cabinet sont de marques Straumann® (leader mondial en dentisterie implantaire et restauratrice ainsi que dans le domaine de la régénération tissulaire orale.
Quand pose-t-on un implant ?
Un implant peut être mis en place, soit immédiatement après l’extraction d’une dent, soit après la cicatrisation de l’os et de la gencive. L’acte chirurgical est souvent simple et peu douloureux. Il se fait sous anesthésie locale comme pour le traitement d’une carie.
La prothèse définitive est réalisée après la solidification de l’os autour de l’implant (dans un délai de 2 à 6 mois).
Dans certaines conditions, une prothèse provisoire peut être mise en place immédiatement après la pose de l’implant.
Indications et contre-indications :
Pour poser un implant, il faut que le volume et la qualité de l’os de la mâchoire soient suffisants. Ces paramètres sont généralement évalués à l’aide d’un scanner. Cependant il est aussi possible d’augmenter le volume osseux à l’aide d’une greffe osseuse. Il est également important que les dents voisines et la gencive soient saines.
Les contre-indications absolues sont rares : il s’agit principalement d’irradiation de la face, ou de haut risque d’endocardite infectieuse (infection d’une valve du cœur par des bactéries de la bouche).
Les contre-indications relatives sont plus fréquentes : mauvaise hygiène, tabac, diabète non équilibré...
Quand pose-t-on un implant ?
Un implant peut être mis en place, soit immédiatement après l’extraction d’une dent, soit après la cicatrisation de l’os et de la gencive. L’acte chirurgical est souvent simple et peu douloureux. Il se fait sous anesthésie locale comme pour le traitement d’une carie.
La prothèse définitive est réalisée après la solidification de l’os autour de l’implant (dans un délai de 2 à 6 mois).
Dans certaines conditions, une prothèse provisoire peut être mise en place immédiatement après la pose de l’implant.
Indications et contre-indications :
Pour poser un implant, il faut que le volume et la qualité de l’os de la mâchoire soient suffisants. Ces paramètres sont généralement évalués à l’aide d’un scanner. Cependant il est aussi possible d’augmenter le volume osseux à l’aide d’une greffe osseuse. Il est également important que les dents voisines et la gencive soient saines.
Les contre-indications absolues sont rares : il s’agit principalement d’irradiation de la face, ou de haut risque d’endocardite infectieuse (infection d’une valve du cœur par des bactéries de la bouche).
Les contre-indications relatives sont plus fréquentes : mauvaise hygiène, tabac, diabète non équilibré...

Les facteurs intervenant dans la réussite du traitement implantaire sont :
• la qualité et l’équilibre de la prothèse posée sur l'implant.
• la répartition des forces sur l'implant.
• la qualité de l'os.
• l’hygiène bucco-dentaire du patient.
• la fréquence des visites de contrôle.
Il existe des études très intéressantes sur le taux de succès du traitement à long terme comme par exemple celle de Lekholm et de ses collaborateurs, parue en 2006 :
• Taux de survie implantaire est de 91 % à 20 ans.
• Autrement dit, un patient à qui l’on pose des implants a plus de 9 chances sur 10 d’avoir toujours ses implants et sa prothèse implantaire dans 20 ans.
• Le traitement implantaire est le traitement prothétique le plus fiable dans beaucoup de situations.
(Lekhom et coll .2006)
• la qualité et l’équilibre de la prothèse posée sur l'implant.
• la répartition des forces sur l'implant.
• la qualité de l'os.
• l’hygiène bucco-dentaire du patient.
• la fréquence des visites de contrôle.
Il existe des études très intéressantes sur le taux de succès du traitement à long terme comme par exemple celle de Lekholm et de ses collaborateurs, parue en 2006 :
• Taux de survie implantaire est de 91 % à 20 ans.
• Autrement dit, un patient à qui l’on pose des implants a plus de 9 chances sur 10 d’avoir toujours ses implants et sa prothèse implantaire dans 20 ans.
• Le traitement implantaire est le traitement prothétique le plus fiable dans beaucoup de situations.
(Lekhom et coll .2006)